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Par l’E Lötschentaler Breithorn 3785 m
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- Difficulté
- PD-
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- Ascension
- 5–5 h, 1390 m
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- Descente
- 250 m
Ascension assez longue, généralement entièrement sur glacier et neige, au départ de la cabane Oberaletschhütte. La partie raide du glacier, au S du Lonzahörner, constitue le passage clé de la course. Des conditions défavorables sur le glacier, combinées avec une forte fonte des neiges, peuvent même rendre la course impossible. Le gardien de la cabane Oberaletschhütte renseignera sur ce point de façon compétente. Une course dans des paysages magnifiques, au cœur du système glaciaire d’Oberaletsch. Il est intéressant de combiner cette course avec une descente par le col Gredetschjoch puis dans l’étroite vallée Gredetschtal jusqu’à Mund.
Description de l'itinéraire
Oberaletschhütte – Oberaletschgletscher
Depuis la cabane Oberaletschhütte (2640 m), descendre par l’accès d’hiver sur le glacier Oberaletschgletscher.
Oberaletschgletscher – Breithorn (Lötschental)
Se diriger tout d’abord en direction du SW, descendre jusqu’à la jonction des glaciers Oberaletschgletscher et Beichgletscher, puis bifurquer vers le NW et remonter le Beichgletscher, peu pentu, par son centre. Vers 2650 m, tourner vers le SW pour continuer à suivre le milieu du glacier. A partir de 2900 m, la pente du glacier se redresse. Passer la zone de séracs, le plus souvent entre le P. 3298 et le côté NW de l’îlot rocheux. Grimper ensuite sur le glacier qui s’élève en pente douce, néanmoins fracturé par des crevasses, parfois de grande taille, jusqu’au pied E du sommet. Gagner d’abord le sommet SE (P. 3781) en gravissant la pente en neige, puis les rochers au sommet. Redescendre au point le plus bas entre le sommet SE et le sommet principal, suivre la fine arête, d’abord neigeuse, puis rocheuse et facile, jusqu’au sommet principal.
Informations complémentaires
- Point de départ
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- Temps
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Selon l’avancement de la fonte de la neige et l’état de la zone de séracs, le temps de parcours peut devenir nettement plus important.
- Difficulté
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L’état de la zone de séracs peut rendre la course beaucoup plus difficile, voire même la rendre impossible.
- Historique
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J. Häberlin avec A., J. von Weissenfluh et J. Rubin, 28 août 1869
