Machhapuchhare – montagne sacrée ou profane?
Le « Cervin du Népal », le Machhapuchhare qui culmine à près de sept mille mètres, devrait bientôt ouvrir ses pentes aux alpinistes. L' un des plus hauts et des plus célèbres sommets jamais encore gravis au monde risquerait ainsi de perdre son aura sacrée.
Tentative d' ascension avortée En 1957, une expédition britannique conduite par le légendaire colonel Jimmy
Avec les affrontements de Dunai, les actes terroristes des rebelles se sont étendus aux régions touristiques les plus connues Pho to s:
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LES ALPES 2/2001
Roberts – un pionnier en matière de tourisme au Népal – a tenté la première ascension légale des 6697 m du Machhapuchhare. Ce sommet au nom qui signifie en népalais « Queue de poisson » dessine peut-être l' un des reliefs les plus connus au monde. Formé de glaciers ancestraux, il apparaît depuis la plaine subtropicale de Pokhara comme le plus haut pic du massif de l' Annapurna, car il occupe le devant de la scène. A l' époque, le temps s' était tellement dégradé que les alpinistes britanniques avaient dû rebrousser chemin à un peu moins de 150 m du sommet! Par la suite, le gouvernement népalais n' a jamais accordé d' autres autorisations, car le Machhapuchhare est, pour l' ethnie locale, les Gurungs, le sanctuaire des Dieux.
Profanation? Secondés de quelques représentants gurungs, les responsables du tourisme envisagent actuellement d' en autoriser l' accès aux alpinistes de toute provenance. Ils arguent du fait que plusieurs sommets himalayens sacrés ont été gagnés par des expéditions étrangères sans rien perdre de leur signification religieuse, comme l' Everest ou l' Ama Dablam au pays des Sherpas.
Derniers sanctuaires Les Gurungs qui vivent au pied du Machhapuchhare, en majorité des paysans, sont d' un avis contraire. Ils doutent que l'on puisse fouler le sommet en toute impunité et craignent la colère de leurs Dieux, avec qui ils ont vécu plus d' un siècle en harmonie. Cette montagne n' est pas sacrée par hasard: sa situation, sa forme et son rayonnement la désignent comme le repaire des Dieux. Même les étrangers ne peuvent se soustraire à son aura. C' est pourquoi il serait souhaitable que la situation demeure en l' état actuel: nous pouvons fort bien nous accommoder des quelque trop rares sanctuaires encore vierges et sacrés. a
Bernhard Rudolf Banzhaf, Saas Fee, alors à Katmandou ( trad. ) Le Machhapuchhare, 6697 m d' altitude, est pour la plupart des Gurungs une montagne sacrée
RANDONNÉE B RANDONNÉE B
Les morceaux de glace, ressoudés après une période de dégel, composent un paysage d' une beauté saisissante Sur les rives du lac Gärtjejàure, St0ra Sjöfallet Pho to s: An dr é Gi ra rd
LA LAPONIE SUÉDOISE
DONNÉE BORÉALE DONNÉE BORÉALE
Campement, près de Tuottar: cette nuit là, le thermomètre a indiqué une moyenne de –16° dans la tente!
LES ALPES 2/2001
n mois de randonnée à skis dans les neiges de la Laponie suédoise, est-ce vraiment l' aventure? « Ça dépend du vent », pourriez-vous facétieusement répondre, et vous auriez raison. André Girard et sa compagne Marianne Kienholz y étaient et vous livrent ici un petit plaisir nordique qui ne devrait pas vous laisser de glace.
Intimidés par la neige, le froid et la solitude, paralysés par l' hostilité de l' hiver boréal, vous vous rapprochez plus du pied tendre que de l' explorateur polaire.. " " .Vous tentez de vous rassurer en pensant que même au-delà du Cercle polaire, le mois de mars n' est plus vraiment l' hiver, que la Laponie n' est pas l' Antarctique, que vous avez lu Paul-Emile Victor... Bref, que tout est prévu. Sauf l' imprévisible.
La Laponie, folklore ou réalité?
A Jokkmokk, petite capitale culturelle du peuple lapon, se dire au bout du monde tient plus de la tartarinade que de la réalité: par la géographie d' abord, qui met le cap Nord à mille kilomètres plus au nord, mais surtout par l' absence de ces différences qui donnent la mesure de l' éloignement. Et s' il advenait que les élans, les rennes des panneaux de signalisation ou encore les couleurs pimpantes des maisonnettes créent une illusion de choc culturel, pénétrer dans un supermarché ou dans une pizzeria suffirait à dissiper cet état. De Lapons, point. Peut-être n' en existe-t-il plus ou n' en a-t-il jamais existé, vous dites-vous, sans reconnaître derrière les habitants de Jokkmokk les Lapons que vous aviez vus en costumes folkloriques sur des photos. Penser arriver dans un village de tentes et voir des rennes attelés à des traîneaux s' avé
U
0 10 30 20 km Ahkka 2016 m Ritsem Saltoluokta N S SF Sarek 2090 m Pårte 2006 m
Kvikkjokk
PARC NATIONAL SAREK PARC NATIONAL PADJELANTA PARC NATIONAL STORA SJÖFALLET NORVÈGE S U È D E Laponie Les parcs nationaux du Sarek, du Padjelanta et de Stora Sjöfallet en Laponie suédoise Les cabanes du gîte Laddejjaka, irréelles dans le blizzard Formation d' une couche de glace, emprisonnant les eaux du lac Gagijaure
T E X T E / P H O TO S André Girard, Valangin
rait aussi irréaliste qu' espérer croiser le Père Noël. Si par contre, vous êtes venus pour la « Laponie, dernier territoire sauvage d' Europe » selon la formule consacrée des prospectus, Jokkmokk est alors une paisible étape, aux parkings pourvus de raccords électriques qui évitent aux voitures de s' enrhumer.
Une route bleuie de glace mène à Kvikkjokk, 120 km plus à l' ouest, le long de lacs gelés, à travers des forêts de bouleaux et de pins. Parfois, un hameau dans les bois et, derrière les vitres des maisonnettes, des plantes en pots qui narguent l' hiver. Et vous, pied tendre qui n' avez ni le cuir d' un explorateur polaire, ni les pneus cloutés, ni les phares antibrouillards, vous vous sentez ragaillardis par la pensée de naviguer comme un as sur cette banquise. Mais la route qui s' arrête à Kvikkjokk met fin à votre témérité. Des montagnes enneigées, dont les plus hauts sommets dépassent 2000 m, s' élèvent au-dessus des bois, douces et blanches. Trois parcs nationaux bout à bout – le Sarek, le Padjelanta et le Stora Sjöfallet – constituent le
Dans le blizzard naissant, Sarek Pho to s:
An dr é Gi ra rd LES ALPES 2/2001
vaste territoire sauvage de 5300 km 2 où vous avez choisi
d' aller vous égarer pendant un mois.
Retour à la vie sauvage
Skis aux pieds, vous vous attelez aux pulkas, et partez, cap vers l' ouest. Remonter la vallée de Tarra vous rend à la vie sauvage: vous sentir un mois libre et maître de votre sac d' os, vous forge des muscles de titane et un moral d' ai. La piste est tracée, le relief facile – malgré ces petits talus sournois qui vous font sentir les limites de vos possibilités. Par deux fois, vous déchaussez vos skis pour vaincre la pesanteur à coups de talons. Peccadille! son-gez-vous, déjà acquis à l' idée de pentes plus palpitantes, qui mériteront mieux les peaux de phoque et les heures d' entraînement sacrifiées.
Tout est neuf, enchante et surprend: ces cabanes lapones, cet immense silence qui coule dans la vallée, la clémence du temps. Le soir, au campement, le feu sombre doucement dans la neige tandis que la nuit n' en finit pas de s' étendre – et vous de chercher l' astuce qui éviterait au feu d' étouffer dans son trou. La nuit. Les étoiles. Les aurores boréales. En voir une, une vraie, avec des couleurs qui dansent dans l' indigo du ciel.. " " .A quelle heure viennent les aurores? Dans quelles conditions? Emmaillotés comme des momies dans vos sacs de couchage garantis –40 °C,à moitié morts de fatigue et oublieux de tout,vous l' ignorez toujours.
A remonter le vent...
Au matin, le baromètre a chuté et vous vous élancez dans une neige molle à travers un paysage aux teintes d' aqua. La piste passe à l' orée du hameau de Njunjes puis, par paliers, grimpe vers le gîte de Njunjesstuga. Un coup de chien vous cueille pendant une halte. Le vent frappe de face, des directs tout mouillés de flocons, et la neige circule à l' horizontale.. " " .Vous voilà contraints d' avancer comme des hommes-troncs, les jambes effacées par la tourmente. Une bonne heure s' écoulera avant que vous n' atteigniez la cabane de la Tarrekaise, 3 km plus loin. Le temps de mettre en mots cet aphorisme hurlé par le blizzard: « A remonter le vent, jamais on n' atteint sa source. » La nuit a effacé toute trace de la tempête et au matin, seules les vestes sont polaires. La température, elle, est loin de l' être: –6 °C, vent nul! Au gîte de Sammerlappa, vous apprenez de la bouche de chasseurs que la température tombe parfois à –32 °C et qu' ils ont vu des traces de lynx pas loin d' ici. Au détour de la conversation, vous ré-soudrez encore le mystère de ces perdrix, qui se laissent plomber les ailes par les chasseurs,alors que le mimétisme ton sur ton les protège si bien des prédateurs: leur caquetage incessant, l' approche à skis, silencieuse, le chasseur tout en blanc, le coup de fusil, la grenaille qui se disperse, les oiseaux qui tombent. Merveilles d' adaptation peut-être, mais quels caquets!
Les anges ne font pas tant de raffut
Demain, adieu chasseurs et monde motorisé! Le parc du Padjelanta est un paradis accessible aux seuls pénitents, randonneurs à skis ou en raquettes. Dans votre calepin, vous notez: « Moins 6 °C au réveil. Dégivrage de la tente intérieure et habillage méthodique. Raquettes indispensables pour vaquer autour du campement. Sitôt après le déjeuner, brusque montée et muscles froids sur une piste que les traces de lynx croisent perpendiculairement. A midi, deux « rangers », chevauchant des monstres d' engins, nous assènent que des temps pareils leur donnent l' impression de travailler au paradis! A la différence près que les anges ne font pas tant de raffut en démarrant. »
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Contre le soir, une brume se lève sur le lac et la température chute brusquement. La nuit vous rassure sur vos capacités de survie en milieu hostile: –16 °C dans la tente, –27 °C à l' extérieur.. " " .Vous songez avec gratitude au ranger qui vous a donné un rouleau de toile isolante pour réparer le serrage défaillant d' un bâton télescopique.. " " .Vous songez aussi au coup de Jean-Louis Etienne au cas où la température demeurerait arctique: poches plastiques autour des pieds pour garder les chaussettes et les chaussures au sec.
De rafales en tempête
Au matin, le vent menace de changer l' humeur du temps. Le soleil a pâli, noyé dans une grande lessive de nuages. Après quelques bourrades amicales, les rafales s' unissent pour devenir tempête. De la poudre blanche dégringole de partout comme une furieuse, s' engouffre, taraude, sculpte, façonne et polit, comme pour vous démontrer en miniature les principes de l' érosion mécanique. Des d' œuvre éphémères taillés par le vent et la neige naissent au ras de vos skis: écailles de glace, tuiles en creux, festons, guipures, dunes, vaguelettes. La trace est encore sûre et vous rejoindrez le lieu-dit Staloluokta, 17 km plus loin, sans sortir ni boussole ni GPS. Alors vous chantez à tue-tête, à la mode lapone, de ces « jojk » qui sont une suite d' improvisations. Pas besoin de connaître la langue et pas de risque, non plus, d' être entendu: le vent vous garantit de toute désobligeance. Dans la tiédeur d' une cabane,vous noircissez quelques lignes de votre carnet: « Navigation difficile. Jour blanc par intermittence. Sur la carte, l' itinéraire semblait évident: méandres de la rivière, enclos à rennes, lac. Dans la purée, c' est tout autre chose. Les cartes suédoises n' offrent pas suffisamment de précision pour s' orienter par mauvais temps. Descente hasardeuse sur Staloluokta. »
Les bicoques de Staloluokta sont tapies sous les congères: pas âme qui vive, ni trace d' âme. Des barques couchées, le ventre à l' air, attendent la débâcle du grand lac Virihaure, sur lequel la vue s' étend à l' infini depuis le
Chapelle de Staloluokta. Construction lapone traditionnelle faite d' une structure en branches de bouleau recouverte de bandeaux d' écorce et de mottes de terre LES ALPES 2/2001
flanc du Stuor Diddjer. La frontière norvégienne passe sur cet horizon blanc-bleu de neige et de ciel. Déjà, vous projetez de revenir dans ces parages, trop vastes pour être parcourus en une fois. Votre conquête du pôle, c' est ici! Sans extrême, mais sans ours polaire à combattre. Dans vingt ou trente jours, vous aurez atteint votre but, bouclé la boucle.. " " .Mais vous n' y songez guère: le présent vous cheville le corps, le futur immédiat s' enchaîne en mouvements pour avancer, pour conserver l' équilibre malgré les à-coups du traîneau, pour s' organiser dans cet espace immense.
Le summum de l' aventure?
Dans les dévers, vous mettez au point tout un système de cordages et de mousquetons pour empêcher que les pulkas prennent la pente. Creux et bosses, ravins et crêtes. Ombres glacées, soleil cuisant. Montées, descentes. Diastole, systole, voilà le rythme de la journée. Moyenne horaire: 2,5 km. Chasseurs, vous auriez dû changer d' allure pour rattraper ces élans apeurés qui trottent sur les collines enneigées. Mais vous vous contentez d' une prise de vue en rafale. Encore un lac et un village fantôme, encore une montée pour atteindre ces bosquets de bouleaux à l' abri desquels vous passerez cette jolie tempête d' équinoxe et de pleine lune, confinés sous la tente durant trois nuits et deux jours. Et ça vous en apprend un peu plus long sur l' héroïsme des explorateurs polaires, dont vous n' aurez de toute manière jamais le cuir.
Dans votre carnet de notes, les écritures vont aux quatre vents mais gardent la ligne. « Trois fois par jour, je sors pour dégeler la tente prise dans des congères. Dehors, c' est la bagarre. Soufflards et neige profonde. Glaçons à mes moustaches. Chaque fois que je rentre, le nid me paraît douillet. Cet après-midi, Marianne a préparé du pop-corn, chauffé du thé. Finalement, je crois que le summum de l' aventure, si elle existe, c' est de manger du pop-corn à l' abri d' une tente secouée par le blizzard. »
Informations générales
La région des trois parcs nationaux
Les trois parcs du Sarek, du Padjelanta et de Stora Sjöfallet couvrent une superficie de 5232 km 2. En décembre 1996, une partie de la Laponie suédoise englobant ces trois parcs nationaux a été reconnue d' intérêt universel et classée par l' UNESCO comme Héritage mondial.
A l' exception du Sarek, qui est constitué d' un important massif montagneux et dont les aménagements sont volontairement inexistants, le Padjelanta et le Sjöfallet sont bien aménagés pour la randonnée. Gîtes et refuges sur les itinéraires importants. La Kungsleden – la Voie
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An dr é Gi ra rd La trottinette à neige est un moyen de locomotion courant dans les rues de Jokkmokk Eglise lapone de Jokkmokk Rencontre avec une caravane de chasseurs, partis dresser leur chien pour la chasse aux perdrix des neiges, Ritsem Björn, gardien du gîte de Sammerlappa, trône devant son domaine. Dans les « fjälls » ( montagnes ), les cabanes situées hors des limites des parcs nationaux sont gardées de février à mi-mai, puis de juillet à octobre Seuls les « rangers » ont l' auto de parcourir les parcs nationaux en motoneige. Très puissants, ces engins permettent de tracter jusqu' à une tonne de matériel pour ravitailler les gîtes
Royale, comparable à un sentier de GR en France – qui va d' Abisko à Ammarnäss ( 550 km ) est très fréquentée. Le camping sauvage étant autorisé, il est possible de quitter les sentiers battus. Dans ce cas: tentes, cartes topographiques et boussoles indispensables. En hiver, navigation beaucoup plus difficile, le balisage d' été étant invisible. Dans les parcs, les refuges, non gardés en hiver, sont ouverts tout l' été.
Informations touristiques
Jokkmokk: Jokkmokk Turistbyra, Stortorget 4, Box 36, S-96223 Jokkmokk. Tél.: 0971 121 40 ou 172 57. Fax: 0971 172 89
Agence pour la protection de l' environnement: Natur-vardsverket,. " " .Box 1302,. " " .S-17175 Solna.. " " .Tél.: 0971 799 10 00.
Caractéristiques/saison
Randonnée d' été: à partir du mois de juin jusqu' à mi-septembre. A partir d' août, les moustiques sont moins nombreux. Randonnée d' hiver: conseillée à partir d' avril. Attention: la Kungsleden, balisée, est ouverte aux motoneiges et donc très fréquentée pendant la période de Pâques.
Equipement
La randonnée hivernale est possible à skis de randonnée nordique ou en raquettes à neige. Avec luges de transport ( pulkas ) ou sac à dos. L' avantage de la pulka sur le sac à dos: autonomie supérieure, confort d' utilisation. Désa-vantage: le prix ( environ 700 fr. ). Entre une pulka en bois ou en fibre de verre, choisir de préférence la seconde, pour sa meilleure glisse et son rapport poids/volume. Dans le cas d' une option pulka, des peaux de phoque sont indispensables.
Hébergement, cabanes
Les gîtes et les refuges étant éloignés de 6 à 22 km, il est possible de randonner léger, sans tente, matelas ni batterie de cuisine. Les gîtes sont fort bien équipés: cuisinière à gaz, vaisselle, chauffage à bois ou à gaz, couettes, couvertures. Prix du gîte: env. 45 fr. par personne par nuit. Une carte de membre de la STF ( Svenska Turistföreningen ), sorte de société de tourisme, donne droit à des réductions sur les nuitées. Affiliation possible dans la plupart des gîtes de la STF.
Ravitaillement
Il est indispensable d' emporter sa nourriture. Faire ses achats dans les grandes agglomérations. Ravitaillement possible ( aussi: gaz et alcool à brûler ) mais très cher à Ritsem Fjällstation, Saltoluokta et Kvikkjokk Fjällstation. Avant la mi-mars, ne compter que sur ses propres réserves. Ces Fjällstation – sortes de centres d' hébergement
Pho to s:
An dr é Gi ra rd LES ALPES 2/2001
– sont pourvues de toutes les facilités, incluant restaurant et boutique, parfois même sauna.
Livres/Guides/revues
Pays nordiques Norvège, Suède, Finlande, Annick et Serge Mouraret, Guides LA CADOLE. ISBN 2-908567-03-2 Tout ce que vous devez savoir pour préparer une randonnée hivernale. Utile aussi pour la rando d' été.
Cartes
En suédois, les cartes topographiques se nomment Fjäll-kartan. Elles sont à l' échelle 1:100 00O. La carte Sareks nationalpark BD10 et la carte Sitasjaure 29 GH couvrent la totalité des trois parcs. a
Le blizzard secoue avec rage le campement. Pour éviter que la tente ne soit prise dans les congères, il a fallu construire un mur de protection Cabane lapone prise dans les congères. Déserts l' hiver, les villages des fjälls sont occupés, l' été, par les éleveurs de rennes qui suivent la migration de leurs troupeaux dans les hauts pâturages Cabanes du gîte de Tuottar, Padjelanta