Die neuen Bergfahrten in den Schweizeralpen 1918
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Die neuen Bergfahrten in den Schweizeralpen 1918

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Mont Blanc-Giruppe..

Aiguille des Petits -Charmoz ( Varianten ). 21/22 août 1917. M. E.R. Blanchet mit Jean Demarchi.

I. Descente au Col de la Buche par le Nord. Du sommet descendre une cheminée verticale direction Nord-Est ( quinze mètres ), puis tirer à gauche en remontant très peu. Tunnel. Descendre 3 mètres.Vire à gauche. Dès lors, on est face au Col de la Buche ( soit versant Nord pur ). Rappel de corde ( 7 mètres ) dans une fissure à surplomb ( prendre garde à un pouce rocheux sur la gauche prêt à s' écrouler et qu' on doit frôler ), puis petite plateforme sur la droite, de moins d' un mètre carré. Passer à gauche sous le pouce croulant. Là, nous avons planté une fiche de fer pour recevoir la corde. Grand rappel de presque 20 mètres, le long d' une paroi très lisse et brillante, verticale, toujours face au col. Un feuillet, minuscule, vers le bas, se détache de la paroi et permet quelque adhérence. Notre corde trop courte nous obligea à un saut de 1 m 50. De là, facilement au col par les gros blocs de la route ordinaire en quelques minutes.

I. Descente par le Nord-Est. Descente dès le sommet par la cheminée de 15 mètres de l' itinéraire précédent. Dès la vire qui se trouve au-dessous, rappel de 18 mètres de corde, mais 8 mètres avant la fin, traverse oblique à gauche pourDieses Verzeichnis umfaßt die während des letzten Jahres in den Schweizeralpen, so wie dieser Begriff in unserm Jahrbuch herkömmlich ist, neu oder auf neuem Wege ausgeführten Bergfahrten, soweit sie bis Ende April 1919, sei es durch direkte Mitteilungen oder durch die alpine Literatur, zur Kenntnis der Redaktion gekommen sind. Nicht aufgenommen wurden die in den Tourenverzeichnissen der „ Alpina ", der „ Rivista Mensile " oder anderwärts angeführten neuen Besteigungen, über welche keine näheren Angaben gemacht wurden. Auf die Berichte in der „ Alpina " wird hier nur kurz verwiesen.

Jahrbuch des Schweizer Alpenclub. 53. Jahrg.

19 éviter des blocs prêts à tomber que la corde arracherait si l'on gardait la direction initiale. Très difficile. S' engager ensuite dans une grande fissure obliquant à gauche ( blocs détachéspasser entre un grand gendarme et l' arête descendant à pic ( qui suit, en le dominant, le couloir Col de la Bûche-glacier de la Thendia: on est tout près de la dite arête à pic ). Ce passage présente une immense plaque fissurée par l' intersection de deux plans. Encore deux cheminées; un petit steinmann est construit à niveau du Col de la Bûche. Mais on ne peut encore traverser de ce côté. Il faut continuer la descente par un nouveau grand rappel de corde ( blocs croulants !). Enfin on peut tirer à gauche, et remonter le long du couloir ( mais au-dessus de lui ) jusqu' au col. Cette route n' a rien de commun avec celle du Guide Kurz, 2e édition, page 194, n° 2, qui est bien plus à droite, en plein Est. Notre route ( impraticable à la montée ) nous prit 4 heures! Cet itinéraire est très dangereux. Par contre, l' itinéraire I est favorable et très recommandable. Communication personnelle de M. E.B. Blanchet ( section des Diablerets.

Penninische Alpen.

Mont Vélan über die SMosttvand. 25. Juli 1916. Sig. Mario und Signa Nunzio, Borelli verließen die Hütten von Berruà im Val d' Ollomont am frühen Morgen und stiegen an den Hütten von Faceballa vorbei gegen den Teil der über 800 m hohen Wand an, welcher zwischen dem Couloir du Capucin und dem großen von den Kochers du Mont Vélan herabkommenden Couloir liegt. Aber da dieser Teil der Wand, wie ihnen Abbé Henry vorausgesagt hatte, schon früh von Steinfällen bestrichen wurde, gaben sie diese Richtung auf, stiegen zu dem kleinen Firnfeld am Fuß des Vélancouloirs hinauf, überschritten dieses in nördlicher Richtung und wendeten sich mehr rechts gegen einen Felsgrat, welcher direkt zur Tête de l' Ariondet sich hinaufzieht ( 7 Uhr morgens ). Nach einer Frühstücksrast stiegen sie über steile Rasenhügel zu den ersten Felstürmen des Grates hinan. Das schlechte Gestein erlaubte nur langsames Klettern, und nach fünfstündigem Steigen waren sie auf einem kleinen Plateau im obersten Teil des Grates angelangt, wo sie wieder rasteten. Beim Weitersteigen in der Höhe des Col du Capucin angelangt, überzeugten sie sich, daß der bisher benutzte Grat sich in der prallen Wand unterhalb der Tête d' Ariondet verlor, während zu ihrer Linken eine sich weiter unten abzweigende Seitenrippe sich direkt zur Tête hinaufzog. Die späte Stunde verbot den wahrscheinlich langen und schwierigen Übergang dorthin. Deshalb ließen sie ihre Karten in einem Felswinkel zu oberst im Grate und gewannen durch eine etwas mißliche Traverse um 3 Dhr 15 Min. nachmittags den von einer großen Gwächte überwölbten Col du Capucin und damit die Schweizerseite des Mont Vélan. Unter Benützung der Stufen einer früheren Karawane erreichten sie von da in l1/* Std. um 5 Uhr nachmittags den Gipfel.

Über den Glacier de Valsorey, auf welchem sie die interessante Erscheinung- des „ Brockengespenstes " genossen, und eine Lücke etwas oberhalb des Col de Valsorey kehrten sie auf die italienische Seite zurück, gewannen über Schneehänge, Weiden und Fußwege die Hütten von Berruà und 3757 stiegen nach kurzer Rast nach Ollomont und Valpelline hinunter, wo sie nachts ankamen. R.M. 1918, pag. 65 — 66.

Dom den den Gipfel auf Route 1 des Walliserführers ( Südostgrat ) erreicht hatten, stiegen sie auf dem gewöhnlichen Abstiegsweg zur Kienhütte über den nordwestlichen Gletscherhang ab bis zum oberen Plateau des nördlichen Arms des Kiengletschers, etwa bis zur Kurve 3720. Nun horizontal das Gletscherplateau nach Norden traversierend, bis zu einer Einsenkung ( von Süden nicht recht sichtbar, dagegen von Norden, FestiTäschhorn gletscher, gut markiert ) des Dom-West- grates. Leichter Aufstieg auf den Grat über Blockfelsen und Schutt, etwa 100 m hoch zum Col. Auf der Nordseite ( Festigletscherseite ) muß man ein etwa 50 m hohes, vereistes Firnwändchen hinabhacken, über den Bergschrund springen und steht dann auf dem Festigletscherplateau, das man in nördlicher Richtung zur Domroute 4 des Walliserführers ( Festijoch-Route ) leicht traversiert ( 3 Std. vom Täschhorn zur Domhütte ).

Die Route hat deshalb Interesse, weil sie die bequemste Anstiegsroute für das Täschhorn ist, das so in 5—6 Std. von der Domhütte ohne namhafte Schwierigkeiten erreicht werden kann. Der Sattel im Westgrat des Dom ist leicht zu queren, der Bergschrund auch im Aufstieg wohl immer zu bewältigen. Redaktion.

Allalin-Horn ( ohne Quote im Siegfried, da wo die vom Egginer herüberkommende Kammlinie senkrecht auf den Hinter-Allalin stößt ), dann hinunter in den Sattel zwischen Hinter-Allalin und P. 3387. Die letzten 10 m, um auf P. 3387 zu gelangen, sind schwer und sehr exponiert. Von rechts, Norden, wohl kaum zu ersteigen wegen plattiger Felsen und steiler Eisbänder, muß P. 3387 daher von links, Süden, in sehr exponierter Kletterei erstiegen werden ( die einzige Schwierigkeit am ganzen Grat ). Von P. 3387 leicht zu P. 3465, ebenso über leichten Firn zu P. 3607. Dann wieder etwas absteigend in einen Schneesattel, wo Kurve 3600 den Grat erreicht. Hier fällt die neue Anstiegsroute mit der von der Britanniahütte üblichen über den oberen Hohlaubgletscher zum Allalin-Nordostgrat zusammen ( Route 4 des Walliserführers ). Die Wand unter dem Allalinhorngipf el wurde stufenhackend erstiegen. Persönliche Mitteilung von Dr. O. A. Hug ( Sektion Uto ).

Mittaghorn. a ) Variante par la face Nord. 6 août 1918. M. E.B. Blanchet avec Pierre-Marie Zurbriggen. Du Plattje ( hôtel ) la ligne d' ascension suit une ligne droite jusqu' au sommet. Au milieu de la paroi dalles très difficiles après un petit nevé triangulaire. Dès le collier de rochers rouges tout est très facile ( éboulis ). Le passage difficile a 20 à 30 mètres de haut: lisse, humide, très incliné, il se trouve tout juste après le petit triangle de neige A. En rejoignant Parke N.E. on pourrait éviter les difficultés par une longue marche de flanc. Je crois que beaucoup plus à droite que notre ligne d' ascension on a franchi la paroi Nord autrefois pour joindre Parke N.W. à 3/* h. du sommet.

b ) Tentative par la face Ouest. 20 septembre 1918. Les mêmes ont fait une tentative d' escalader le Mittaghorn directement des le glacier de Ritz, vers le 8 du chiffre 3148. En 61/2 h. d' escalade terrible nous avons monté 100 mètres, puis sommes redescendus. Des dalles absolument lisses se chevauchant, presque verticales, humides, nous ont épuisés, puis arrêtés. Plus à gauche, soit plus près de l' arête N. Ouest, la route est peut-être réalisable. On croit à Saas-Fee que le Mittaghorn a été descendu par une courte partie de Parke N. Ouest et de là par le flanc S.W. de la dite arête sur le glacier de Ritz.

J' ai fait aussi l' arête N.E. Elle constitue la route la plus courte, est très facile, moins monotone que la route ordinaire. Les pierres roulantes y sont moins désagréables qu' on ne le croit. Communications personnelles de M. E-E. Blanchet ( section des Diablerets ).

SchwarErnies, ca. 3700 m, sans nom ni cote dans Siegfr. hot rocheux, enclos dans la branche Sud du Glacier de Mellig; le sommet se trouve juste S. de la lettre „ G " de „ Gletscher " et N. de la lettre „ T " de „ Trifthorn " de la feuille 534 ( Saas ). On peut distinguer une arête Est d' où se détache, à une encoche ( environ 100 m E. du sommet ) une arête secondaire ou côte, très courte mais bien marquée même dans Siegfr., tirant vers le N.W., et une arête principale Ouest qui contient le Nord Wei5smiesSud sommet. Trois routes ont été prises pour gagner le sommet qui est nommé et coté dans le tarif des guides de Saas.

1. E.R. Blanchet ( seul ) gagna en longeant la côte N.W., puis suivant la crête même de cette côte ( Rippe ) une encoche ( A ) de l' arête Est, à l' endroit où cette côte se soude à la dite arête Est. De ce point, descente de 50 mètres dans la face Sud ( abrupte dans le haut ) jusqu' à ce que l'on puisse traverser facilement en remontant obliquement pour gagner l' arête Ouest à 50 mètres du sommet ( B ). De là suivre l' arête jusqu' au sommet e, avec un seul passage difficile. De B à la cime on suit donc la route des guides.

2. La route des guides ( on ne sait par qui elle a été faite pour la première fois ) suit toute l' arête Ouest, plusieurs ressauts exigeant des rappels de corde. L' arête ( pour raccourcir ) doit être accessible par le flanc Nord en plusieurs endroits.

3. De „ B " M. E.R. Blanchet descendit très facilement la face Sud, pour regagner ensuite la Triftalp par un val désert et des pentes rapides. Cette route est la plus facile et n' est pas intéressante.

Point 3213 des Jägihörner par la face orientale. 4 sept. 1918. M. E.R. Blanchet avec Joseph Imseng ( voir Walliserführer Ilio, pag. 348, „ zwischen diesen Routen scheint die Wand unangreifbar zu sein " ).

„ La paroi de rocher, haute de certainement 300 mètres est extrêmement raide. Notre ligne d' ascension suit à peu près la verticale abaissée du sommet. Elle s' élève par une succession de très longues cheminées, dont l' une a environ 120 mètres. L' escalade demande un effort ininterrompu ( durée de la grimpée 2 h. s/i, dont 1 h. 05 à soustraire: haltes pour construire des steinmann ). Pas un passage n' est facile, mais nulle part il n' y a de difficultés extraordinaires. J' ai conduit toute l' ascension marchant en tête. Un porteur, Joseph Imseng, coiffeur à Saas-Fee, me suivait.Communication personnelle de M. E.R. Blanchet ( section des Diablerets ).

Berner Alpen.

Tennbachhorn. Variante im Aufstieg. August 191(5. E.R. Blanchet mit Félix Veillon. In S.A.C.J.. LU, p. 107, lesen wir: „ Von der Scharte zwischen Nord- und Südgipfel fällt westlich oder südwestlich ein enges und steiles, wahrscheinlich ersteigbares Couloir ab. " Nun schreibt mir M. Blanchet am 6. Januar 1919: „ J'ai gravi ce couloir en août 1916 avec le guide Félix Veillon ( Plans sur Bex ). Le couloir fut très dangereux: neige fraîche. Mais autrement il doit être assez praticable. "

Stockhorn ( Baltschiedertal ), neuer Aufstieg von Ostnordost, über die Wand nördlich des Ostgrates, und Abstiegsvariante. 14. Juli 1918. Herren Paul Montandon, I. Triner, Otto König und H. Lauper. S.A.C.J.. LUI, pag. 313, und A.A.C.B., XIII. Jahresbericht, pag. 11.

Jjollihorn. 27. Januar 1918. Herren F. Egger und H. Lauper. Vom Jägihorn ( 3250 m ) ab 4 Uhr 30 Min. Nachmittags über Schnee und leichte Felsen in einer halben Stunde auf einen ausgeprägten, bisher unbenannten Gipfel der Kette, die sich vom Wilerhorn -zum Jägihorn und in südlicher Richtung hinab zum Eggenhorn und Praghorn senkt. Etwas weiter südlich erhebt sich ein zweiter, niedrigerer Gipfel, für den der Name Rämihorn vorgeschlagen wird, dessen Grat in das Eggenhorn ausläuft. A.A.C.B., XIII. Jahresbericht, pag. 11.

Tschingelhorn über die Nordosttcand. 18. August 1!)18. Herren Othmar Gurtner, H. Marti und P. Büükofer. Von der Wetterlücke nordwestlich auf einen breiten Felskamm, über einen Schneegrat hinauf an den Fuß der Nordostgipfelwand ( 1 Std. ). Die Eiswand hinauf, über die große Gwächte zum Gipfel ( l1/* Std. ).

Büttlassen, Abstieg über den Nordostgrat. 19. August 1918. Die nämlichen stiegen vom Gipfel in zirka 3 Stunden über den Vorgipfel ( 3052 m ) hinab in die gestuften Felsen des N. E. Grates, zu der ersten tiefen Lücke und weiter westlich absteigend durch Eisrinnen und Schnee zu dem Bachboden unter der Sefinenfurgge. A.A.C.B., XIII. Jahresbericht, pag. 12, und S.A.C.J.. LUI, pag. 56 und 59.

Gspaltenhorn über den Südwestgrat. Variante: Traversierung sämtlicher Boten Zähne. 23. August 1918. Herr Jean Bernet mit Jakob Bumpf. S.A.C.J.. LUI, pag. 82—88.

Mittleres Busenhorn ( 2200 m An. ). 22. September 1918. Herren Othmar Gurtner und K. Goldschmid. A.A.C.B., XIII. Jahresbericht, pag. 12—13, und S.A.C.J.. LUI, pag. 72—73.

Aermighorn, Variante durch die Südostflanke. 1. September 1918. Dr. W. Bytz und stud. jur. Alfred Steck. Von der obersten Hütte des Stierengwindli in gerader Richtung zum Nordostgipfel. A.A.C.B., XIII. Jahresbericht, pag. 12.

AgassiehornJ ) über den Ostgrat, vom Finsteraarjoch direkt zum Gipfel. 22. Juli 1917. Herren F. Egger und B. Lauterburg.S.A.C.J.. LII, pag. 228—229; A.A.C.B., XII. Jahresbericht, pag. 13 — 14, und A.A.C.Z., XXII. Jahresbericht, pag. 17. Bosenlauistock über die West flanke. 9. Juni 1918. Herren Fritz Bupp, Oskar Matti, Frits Binggenberg. Vom Ochsental aus verfolgt man den Rosenlauiweg bis zu einer Erhöhung, die sich moränenartig gegen die Westflanke des Rosenlauistockes hinaufzieht, folgt derselben bis ans Ende ( ca. 10 m, bevor die Fluh beginnt ), quert dann noch 30 bis 40 m nach rechts und beginnt den eigentlichen Aufstieg. Zuerst in leichter Kletterei ziemlich gerade aufwärts, dann etwas links haltend, gewinnt man ein Couloir. Man verfolgt dasselbe, bis Überhang ein Weiterkommen verunmöglicht. Nur schwach ansteigend, quert man von hier auf abschüssigen, griffarmen Platten 40 bis 50 m nach rechts ( sehr exponiert ), überschreitet den Grat und erreicht durch eine ausgewaschene Rinne leicht den westlichen Gipfel. Zeit: Von der Ochsentalhütte aus ca. 2 Std. Persönliche Mitteilungen von Herrn Frite Binggenberg ( Sektion Oberhasli ).

ürner Alpen.

Vorderer Rhonestock, Nordgipfel. 23. September 1917. Herren Dr. O. A. Hug, Anton Simmen und Marcel Kurz. S.A.C.J.. LII, pag. 229-230; A.A.C.B., XII. Jahresbericht, pag. 15-16 ., und A.A.C.Z., XXII. Jahresbericht, pag. 18—19.

Hinterer Bkonestock. 23. September 1917. Die nämlichen. Gleiche Referenzen.

Galenstock über den Westgrat im Abstieg. 17. Juli 1901 ( Nachtrag ). Herren Louis und Marcel Kurz mit Seb. Hischier. Vom Gipfel zuerst über Firn nach S. W. hinab bis zum felsigen Grat. Kletterei ziemlich schwierig, doch ist der Fels gut und bietet zahlreiche Griffe. Den Schwierigkeiten kann man teilweise in der Nordflanke ausweichen. Der Grat wurde zu unterst verlassen und der weitere Abstieg über Firn nach Süden genommen. 1 Std. 40 Min. vom Gipfel zum Rhonegletscher. A.A.C.Z., XXII. Jahresbericht, pag. 18.

Schneestock von Osten. 17. Juni 1917. Herren Marcel Kurz und H. Neumeyer. Von der Moosstockhütte über den Dammafirn, dicht beim P. 2952 vorbei, zur ersten Lücke im Ostgrat ( 2 Std. ). Dem Grat nach in hübscher Kletterei bis zur Stelle, wo er fast senkrecht hinaufzieht; dann rechts in ein Schneecouloir hinüber, welches man bis zu oberst verfolgt, wo sich eine kleine Schneekante bildet ( 40 Min. ). Diese Schneekante verläuft in die N. E. Wand und führt in ein zweites, steiles und enges Schneecouloir, durch welches man wieder auf eine Schneekante gelangt ( 40 Min. ). Von hier aus wird der Gipfel sichtbar. Man steigt direkt in seiner Richtung über steile Schnee- und Eishänge hinauf. In normalen Verhältnissen wird man vorziehen, den Gipfel über seinen oberen Ostgrat zu erreichen. Wenn aber noch viel Schnee liegt, ist es besser, nach rechts ( Westen ) zu biegen, um die Gwächte direkt nordwestlich vom Gipfel zu überwinden. Während des ganzen Aufstiegs wurde kein Steinschlag beobachtet. Einem Abbruch der Gwächte ist man aber auf dem letzten Hang beständig ausgesetzt ( Hütte bis Gipfel 5-7 Std. ). A.A.C.Z., XXII. Jahresbericht, pag. 19.

Adula-Alpen.

Piz Valdraus, Aufstieg über den Westgrat. 20. Mai 1918. Herren Dr. W. Rytz, H. Steffen und Dr. A. Scabell. Morgens 11 Uhr ab Fuorcla de Lavaz.T.raver-sierten die Hänge östlich des Fillung, betraten den Lavazgletscher bei P. 2567 und erreichten den Westgrat des Piz Valdraus südlich des Buchstaben P dieses Namens um 5 Uhr. Der Grat wurde auf der Schneide seiner ganzen Ausdehnung nach erstiegen in 55 Minuten.

Punta Nera. 1. Juni 1918. Dr. A. Scabell allein. Casaccia an der Lukmanierstraße wurde um 10 Uhr 5 Min. morgens verlassen, die letzten Grasbänder der Gama Nera südwestlich P. 3000 Pizzo Nero um 11 Uhr 15 Min. erreicht und hierauf annähernd in der Linie Casaccia, P. 3000, das schwarze schiefrige Bollwerk erstiegen, in den untern drei Vierteln auf einer ausgesprochenen, sich nach oben verlierenden Rippe, das oberste Viertel über die gestufte, an Steilheit beträchtlich zunehmende Wand. Dem Südgrat folgend, gelangte Dr. Scabell leicht auf den Gipfel des Scopi ( 1 Uhr 10 Min. nachm. ). A.A.C.B., XIII. Jahresbericht, pag. 10—11.

Tgiern Toma ( Val Nalps ). 25. August 1917. Herr Marcel Kurz mit Giacomo Bertolini erreichte vom Gl. de Toma diesen touristisch unbetretenen Punkt über den den Gipfel mit dem Piz Paradis verbindenden Grat. S.A.C.J.. LII, pag. 232, und A.A.C.Z., XXII. Jahresbericht, pag. 23.

Tuors Paradis, erste Besteigung der Tuors II und III und erste Traversierung aller vier Tuors. 25. August 1917. Herr Marcel Kurz allein. S.A.C.J.. LII, pag. 46, und A.A.C.Z., XXII. Jahresbericht, pag. 23—24.

Pis Furcla, erste Traversierung und erste Begehung des Südgrates ( im Abstieg ). 26. August 1917. Herr Marcel Kurs mit Giacomo Bertolini. Der Grat wird ohne besondere Schwierigkeiten in seiner ganzen Länge verfolgt ( in 25 Minuten zur Fuorcla Serengia ). A.A.C.Z., XXII. Jahresbericht, pag. 24.

Pie Serengia über den Westgrat. 26. August 1917. Die nämlichen. Vom P. 2158 in der Val Cornera auf dem linken Ufer des von der Fuorcla Serengia herunterfließenden Baches über Gras-. Geröll- und Schneehalden zum Grat hinauf. Dieser wird oberhalb seinem letzten Absatz betreten und bis zum Gipfel verfolgt ( im Abstieg l1/* Std. ). A.A.C.Z., XXII. Jahresbericht, pag. 24.

Pis Bondadura über die Westwand. 2. September 1917. Die nämlichen. Vom Gl. de Nalps über steile, teilweise schwierige Felsen direkt zum Gipfel ( 1 Std. ). Diese Route ist steinschlaggefährlich. Die beiden hatten den Nordgrat als Ziel, wurden aber von diesem durch ein steiles Couloir getrennt und zu einem direkten Aufstieg gezwungen. A.A.C.Z., XXII. Jahresbericht, pag. 24.

Piz della Val. 2. September 1917. Herr Marcel Kurz allein. 1. Über den Südgrat. Von Osten gelangt man ohne Schwierigkeiten durch ein kurzes Couloir in die Lücke zwischen P. 2792 und P. 2822. Von der Lücke hält man sich etwas rechts ( auf der Ostseite ), indem man zwei steile Felsabsätze überklettert. Der erste ist schwierig. Vom zweiten direkt zum Gipfel ( von der Lücke in 20 Minuten ).

2. Über den Nordgrat ( im Abstieg ). Von der tiefsten Lücke zwischen P. 2786 und P. 2822 über den ganzen Grat in hübscher Kletterei. Man kann auch in die Ostflanke etwas abweichen ( von der Lücke in 20 Minuten ). A.A.C.Z., XXII. Jahresbericht, pag. 24—25.

Piz Vügira, erste Besteigung des Mittelgipfels und Traversierung aller drei Gipfel. 2. September 1917. Herr Marcel Kurs mit Giacomo Bertolini. S.A.C.J.. LII, pag. 31, und A.A.C.Z., XXII. Jahresbericht, pag. 25.

Fuorcla Vügira, ca. 2820 m, im Siegfr. ohne Namen und Quote, swischen P. Vügira und P. 2873, von der Val Medels in die Val Nalps. 2. September 1917. Die nämlichen. Von Santa Maria ( Lukmanier ) zum Laiblaugletscher und über diesen in nördlicher Richtung zur Lücke, direkt S. W. von P. 2873 ( 2l/i Std. ). Auf der andern Seite reicht der Firn nicht mehr bis in die tiefste Lücke. Eine glatte, senkrechte, ca. 10 m hohe Felswand hindert den direkten Übergang. Man muß dem Grate in der Richtung auf P. 2873 folgen, bis man eine günstige Stelle findet, um auf den Gletscher hinabzusteigen. Durch den Gletscher hinunter und weiter über Geröll und Grashänge zur Talsohle der Val Nalps, die man ungefähr gegenüber dem P. 1954 erreicht ( vom Paß zur Alp Nalps in 1 Std. ). A.A.C.Z., XXII. Jahresbericht, pag. 25.

Fuorcla Ganneretsch, ca. 2870 m, ohne Namen und Quote im Siegfr., swischen Pis Ganneretsch und P. 2888, von Santa Maria nach Sedrun. 1. Oktober 1917. Die nämlichen. Von Santa Maria über den Laiblaugletscher und dessen Moräne zum Seelein am Ostfuß des P. 2873 ( Karte falsch !). Von da eine Mulde hinan leicht zum Paß ( 2^2 Std. ). Auf der andern Seite scharf nach Norden über den Gletscher bis zum Fuß des N. W. Grates von Piz Gierm, wo die rechte Seitenmoräne anfängt ( 20 Min. ). Von dort auf gutem Pfad zur oberen Alp Nalps ( 25 Min. ) und zur unteren Alp und auf dem Talweg nach Sedrun ( 5—6 Std. von Santa Maria ). A.A.C.Z., XXII. Jahresbericht, pag. 25—26.

Ravetschpaß, ca. 2920 m, ohne Namen und Quote im Siegfr., swischen P. 2982 und P. 2947 des Ravetschgrates, von der Val Maigels in die Val Cornera. 29. September 1917. Die nämlichen. Durch die Val Maigels bis zum Fuße des Piz Portgera. Über den Maigelsbach und südöstlich ansteigend Über Grashalden zur rechten Seitenmoräne des Maigelsgletschers, der am Fuß des N. W. Grates von P. 2947 betreten wird. Von da auf dem rechten Ufer zur Lücke ( 21/2 Std. von Tgetlems ). Auf der andern Seite führen ein kleiner Firn, Geröll- und Grashänge in die Val Cornera hinab. Will man aber zum Passo Vecchio oder zur Fuorcla da Blas hinüber, so steigt man nur ca. 250 m südöstlich ab, geht um den Ostgrat von P. 2982 herum und traversiert horizontal zum Passo Vecchio ( 1 Std. ) oder zur Fuorcla da Blas ( l1/* Std. ) hinüber. A.A.C.Z., XXII. Jahresbericht, pag. 26.

Fuorcla del Ufiern, ca. 2820 m, ohne Namen und Quote im Siegfr., zwischen Piz del Ufiern und Piz Git; verbindet die Vals Cornera und Nalps. 29. September 1917. Die nämlichen. Durch die Val Cornera bis in die Fallirne der Fuorcla da Blas, dann schräg aufwärts nach N. E., über Geröll und Schnee und zuletzt ein kurzes steiles Couloir hinauf zum Paß ( 2 Std. von der Cornerahütte ). Auf der andern Seite über einen kleinen Firn und durch ein breites Couloir hinunter in die Val Cornera, P. 2357, oder horizontal über den Firn, dicht am Ostfuße des Piz del Ufiern vorbei, und zum Gl. de Nalps hinunter ( von der Fuorcla del Ufiern zum Passo Rondadura 50 Min. ). A.A.C.Z., XXII. Jahresbericht, pag. 26 —27.

P/z Valatscha über den Nordgrat. 30. September 1917. Die nämlichen. S.A.C.J.. LII, pag. 32, und A.A.C.Z., XXII. Jahresbericht, pag. 27.

( jlaruer Alpen.

Pucher über die Nordwand. 18. Juni 1917. Herren Dr. G. Miescher und W. E. Burger. Von der Brunnialp zunächst zum breiten Firnstreifen am Fuß der Ruchen-Nord-wand, von dessen östlichem Ende die Ruchenroute ausgeht. An seinem entgegengesetzten westlichen Ende folgt man ansteigend einem schmalen Schuttband ein Stück weit nach rechts, bis es in ein breiteres horizontales Band ausmündet, das die Fortsetzung des Firnbandes darstellt. Man folgt diesem Bande nicht, sondern wendet sich nach links und klettert über steilgestufte schrofige Felsen bis an den Fuß glatter Felswände hinan. Diesen entlang führt nach Westen horizontal ein schmales Bändchen in eine breite Felsmulde hinein, in welcher mehrere Firnflecken stufenweise über-einanderliegen ( siehe die Skizze auf pag. 94 des Urnerführers I ). Man betritt diese Felsmulde unmittelbar oberhalb ihres Abbruchs über dem Firnband. Der weitere Anstieg folgt dem Verlauf der Mulde, die einzelnen Steilabsätze erst östlich, dann westlich des Baches überwindend. Am Westrande des obersten Firnfleckes übersteigt man, ein kleines Bändchen benutzend, die westlich angrenzende Felsrippe bei einem Steinmann ( Merkzeichen eines Versuchs von 1915 ), steigt jenseits über faules Gestein 30 m in den Grund eines Couloirs ab, quert das westlich angrenzende steile Schneefeld und erreicht so an dessen westlichem Ende ein kleines Felsband. Dieses führt stark ansteigend, stellenweise eingefurcht, um die Ecke herum in die gewaltige Felsschlucht des Ruchenfensters hinein, wo diese flacher wird. Das Band endigt in einer überwölbten Felsennische, an deren westlichem Rande ein Wasserfall braust. Hart neben diesem erklettert man über bauchige nasse Felsen die steile Wand zu leichterem Terrain. Durch Rinnen und kleine Kamine folgt man eine Zeitlang dem Bach, quert dann auf einer Reihe breiter, treppenförmig gestufter Bänder nach rechts und gewinnt so die Nordflanke des Puchers. Man steigt nun bald rechts, bald links haltend in der Richtung des Ruchenfensterstockes empor, biegt ca. 100 m unter dem Grat über schmale, von Kaminen unterbrochene, abschüssige Bänder nach Westen ab und erreicht nach Überwindung einiger plattiger Stellen den Fuß einer schmalen Schneerinne, welche auf ein markantes, steiles Schneegrätchen hinaufführt. Dieses läuft, von zwei kleinen Felsstufen unterbrochen, in die Firnwand des Gipfelgrates aus, ca. 100 m östlich vom Steinmann. Von hier über mehrere kleine Scharten zum Gipfel ( 10—12 Std. von der Brunnialp bei guten Verhältnissen ). A.A.C.Z., XXII. Jahresbericht, pag. 20—21.

Oberalpstock über den Südwestgrat ( die Route ist auf der Skizze im Bündnerführer, Bd. I, pag. 413, sichtbar ). 29. Juli 1917. Herr Marcel Kurz allein. Von Sedrun durch die Val Strim zum Strimgletscher und über das linke Ufer, der Moräne nach, bis zum oberen Ende derselben ( 2*/2 Std. ). Dann quer über Schneehänge zum Fuß eines langen steilen Schneecouloirs, welches vom Strimgletscher zu der unteren von zwei Scharten des Südwestgrates hinaufführt. Diese liegt etwa 700 m vom Gipfel und wird direkt südlich von einer gabelförmigen Nadel beherrscht. Durch das Couloir hinauf zur unteren Lücke ( 1 Std. 15 Min. ). Von dieser, die von Osten her viel bequemer erreicht wird, folgt man dem Grat bis zum Gipfel ( l'/a — 2 Std. ). Zuerst kommt eine sehr steile Kletterpartie, dann eine hübsche Gratwanderung, immer der Kante nach, über drei spitzige Gendarmen. Vom dritten steigt man in die obere, ebenfalls von Osten leicht zu erreichende Lücke hinunter. Das letzte Gratstück führt geradlinig zum Gipfel hinauf; man kann auch links neben dem Grat einer Rinne und einer Rippe folgen. Vom Südgipfel zum Hauptgipfel dem Grate nach in 10 Minuten. Sehr empfehlenswerte Route für die, welche von Süden kommen. Das obere Gratstuck, von der zweiten Lücke an, wurde von P. Schucan schon im Herbst 1913 begangen. A.A.C.Z., XXII. Jahresbericht, pag. 21 — 22.

GiufstöcMi III, ca. 3040 m. 15. Juli 1917. Herren Marcel Kurs und Dr. O.A. Hug. ~ A.A.C.B., XII. Jahresbericht, pag. 14—15; S.A.C.J.. LU, pag. 231, und A.A.C.Z., XXII. Jahresbericht, pag. 22.

Federälpler über den Südgrat. Die nämlichen. Gleiches Datum und Referenzen.

Schneehühnerstock über den Südgrat. 22. Juli 1917. Herr Marcel Kurs allein. ' Vom Schnee- oder Schuttfeld am Südfuß erhebt sich der Südgrat zuerst in fast senkrechten, West-Ost geschichteten Granitplatten. In den ersten Platten, auf der Ostseite des Grates, steigt man durch einen engen, schwierigen, ca. 30 m hohen Kamin zur Gratkante hinauf. Die weiteren 20 m sind noch schwierig; dann immer der Gratkante nach in amüsanter Kletterei über einen Vorgipfel und drei weitere Gendarmen zum höchsten Punkt ( vom Einstieg zum Gipfel zirka 1 Std. ). A.A.C.Z., XXII. Jahresbericht, pag. 22. Über eine zweite Besteigung auf dieser Route, ausgeführt am 9. Juli 1918 von drei Mitgliedern der Sektion Lucendro, siehe Alp. 1918 pag. 126 und 134.

Böser Faulen, erste Begehung des Nordgrates. 28. Juni 1917. Herr E. Hauser ( allein ) gelangte vom N. E. Gipfel ( P. 2274 ) über ein sehr brüchiges Wändchen in die oberste Scharte in dem zur Gassenfurkel absteigenden Grat, umging den folgenden hohen Abbruch auf der Bösbächi-Seite und gewann die stumpfe Gratkante wieder, wo sie eine kleine Plattform bildet. Hier bricht der Grat in völlig senkrechten glatten Stufen zur Gassenfurkel ab. Man wendet sich direkt nordwärts über ein steiles Schneefeld hinunter und gewinnt nach links querend den hier ansetzenden Nordgrat. Dieser wird nach unten immer ausgeprägter und bietet mit Ausnahme einer kleinen Steilstufe im oberen Teil keine Schwierigkeiten. Wo der Grat sich verflacht und wieder zum Hinteren Gassenstock ansteigt, erreicht man, östlich absteigend, die Route der Gassenfurkel. A.A.C.Z., XXII. Jahresbericht, pag. 23.

Mürtschenstock. 1. Stocüoch-Boute; 2. neuer Aufstieg zum Schußplats. Mitteilungen von Dr. Ott ( Sektion Winterthur ) in der Alp. 1918, pag. 121—122.

Taminagebiet.

Marchegghorn ( 2617 m im Muttentalergrat ), neue direkte Zugänge im Auf- und Abstieg ( vgl. Bündnerführer I, pag. 108 ). 12. Juli 1918. Dr. A. Binz-Müller und Aug. Binz jun. Alp. 1918, pag. 126.

Alpstein. V. Kreuzberg, Variante. 2. Juni 1918. Herren W. A. Hauswirth, Steger und Spiller. Von der Scharte zwischen IV. und V. Kreuzberg direkter Aufstieg am Ostgrat ca. Seillänge, über einen Sperrblock durch Aufschwingen mit dem rechten Knie hinüber auf ein Rasenplätzchen. Von dort Abbiegen in leichterer Kletterei nach links, Traversierung eines Felsbändchens, dann wieder direkter Anstieg bis zu einer schmalen grifflosen Rinne, schwierigste Stelle! Schwierig aufwärts, unter Benützung eines eingetriebenen Stiftes und gleichzeitiger starker Sicherung am links unten stehenden Felsklötzchen. Oben Überseilung der ganzen exponierten Stelle dieses Rißchens, dann Traverse in eine Felskluft von ca. 30 cm Breite hinauf und unter Benützung dieser Kluft ihrer ganzen Länge nach bis ca. 15 m unterhalb des Gipfelgrates. Abstieg auf einem „ bodenlosen " kleinen Kamin gegen den Westgrat, Aufschwung auf diesen und letzte Partie auf den Gipfel. A.A.C.B., XIII. Jahresbericht, pag. 11—12.

Berninagruppe.

Piz Bernina, Variante im Abstieg über den Ostgrat. B. August 1916. Sig. M. Lusy mit C. Graß und G. Hauser. Vom Gipfel steigt man den felsigen Ostgrat für gut */s hinunter, verläßt ihn dann gegen Norden in der Richtung des großen Couloirs zwischen dem Sass del Pos und der Flanke des Pizzo Bianco. Man steigt etwa 6—700 m ab, traversiert nach links, sich in der Höhe haltend, eine sehr schwierige Eiswand, steigt zwischen zwei großen Eisstürzen ab und traversiert in zwei Zickzacks zurück bis zu den Felsen zur Rechten. Über einen sehr steilen Abhang und durch ein sehr steiles enges Couloir gewinnt man, immer nach rechts haltend, die Felsen des großen Bollwerks 2740 des Sass del Pos und so den Morteratschgletscher.

Vielleicht ist dies teilweise die von Norman Neruda mit Chr. Klucker im Aufstieg eingeschlagene Route ( vgl. Balabio, pag. 394 ); sie ist nur unter ungewöhnlich günstigen Verhältnissen möglich und beständig Steinfällen und Eisstürzen ausgesetzt. R.M. 1918, pag. 88.Redaktion.

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